Kathmandu Connection – Une série SonyLIV pas si prometteuse

 

La dernière série de SonyLIV, Kathmandu Connection, est décrite comme une série policière éprouvée. La série de six épisodes tourne autour d'un officier de police de Delhi, Samrath et d'un journaliste de télévision, Shivani. La série attire l'attention sur les explosions de Bombay en 1993 et certains incidents de la vie réelle, qui avaient un lien avec les attentats à la bombe. Les trois incidents étaient : le meurtre de l'enquêteur dans l'affaire de l'explosion Sandip Garg, l'enlèvement de Dharmendra Arora, un homme d'affaires et un hôtelier de premier plan et le harcèlement d'un journaliste bien connu, Shivani Bhatnagar. L'officier de police de Delhi, Samrath Kaushik et l'officier du CBI Hitesh Aggarwal ont trouvé un lien commun avec ces 3 incidents, à savoir Katmandou. Pour découvrir le chaînon manquant et traquer les personnes derrière les crimes horribles, Samrath atteint Katmandou.

Un scénario déroutant – Kathmandu Connection

Kathmandu Connection, écrit par Siddharth Mishra et réalisé par Sachin Pathak, a commencé avec l'intrigue captivante, mettant en lumière les cas de crime interdépendants, en lien avec l'explosion de Bombay en 1993. Mais, le scénario manquait de gravité et de connexion, essentielles pour décrire de tels incidents réels. Le scénario est déroutant et pathétique, avec tant de rebondissements délibérés. La série commence sur une note propice et au rythme assez rapide, mais commence à se déplacer comme un escargot vers un point culminant faible. Avec Amit Sial dans l'émission en tête, les attentes étaient élevées, mais l'émission est pleine de défauts et de détails lâches.

Il y a plusieurs détournements du scénario principal – le divorce de DCP, une histoire d'amour, un mariage troublé, des policiers menant leurs propres enquêtes, un angle hindou musulman, une histoire d'orphelinat, autant d'intrigues dans l'épisode de 6 séries. On dirait que l'écrivain s'est perdu en écrivant le scénario. L'exécution défectueuse fait de la série - la connexion Katmandou un complot lâche. Même les scènes d'amour sont écrites de façon immature.